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Rahel à Gaza : L'histoire dit vrai.

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Bluxor
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Rahel à Gaza: L’histoire dit vrai.

1/L’histoire :
Rappel/Résumé.
Rahel Imeinou apparaît à une unité de soldats, les met en garde contre le danger qu’ils vont courir en entrant dans une maison piégée et sauve ainsi leur vies.

2/Conséquences.
Des prises de positions divergentes sur le crédit qu’il faut où non apporter à cette histoire.

3/Documents.
Voici quelques liens vers des sites où s’expriment ces différentes positions.

http://www.chiourim.com/monde_juif_-_actualites/actualite/rahel_imenou_%e0_gaza_?__par_le_fils_de_rav_mordehai_eliahou.html

http://www.cheela.org/popread.php?id=45715

http://www.cheela.org/

http://www.leava.fr/cours-torah-judaisme/actualite/454_chirat-aza-le-chant-de-gaza.php

http://www.hassidout.tv/sj/index.php?view=article&catid=104:infos&id=4609:rahel-imenou-a-gaza&tmpl=component&print=1&page=


http://www.terredisrael.com/wordpress/?p=4450


Je conseille particulièrement le lien http://www.cheela.org/ sur lequel s’expriment brièvement mais clairement des points de vue que l’on peut nommer rapidement « rationaliste» pour les uns et « mystique » pour les autres.


Mon propos sera d’essayer d’esquisser un point de vue à distance de l’une et l’autre des ces positions, point de vue que je nomme tiers temps.

A/Temps du récit : structure.
Temps un ; une parole, un discours, une histoire raconte la présence de Rahel à Gaza.
Histoire un peu magique, un peu bizarre, un conte de fée ?
Bon.
Deuxième temps.
En réaction à cette histoire, une parole autre, un autre discours, une autre histoire, se présentent qui mettent en doute le contenu de l'histoire un.
Notons, sans le temps un, alors ce temps deuxième n’aurait pas eu lieu d’être.
Or ce temps est discorde, le conte de fée serait peut être moins beau qu’il n’y parait.
Troisième temps.
On reprend depuis le début et l’on essaye de surmonter la discorde.
Si l’on y parvient alors. Le temps deux et le temps trois seront aussi bons que le temps un.

C’est clair ? Mais oui bien, mais c’est bien sur…
On apprend cela à l’école maternelle, au début de la lecture.
Grande école maternelle.

B/Reprise.
Deux apparitions.
Une apparition, d’après l’histoire : Rahel à Gaza.
Une apparition : l’histoire elle-même.

Sur la deuxième apparition, l’histoire, pas de doute possible, elle existe.
Puisque là nous avons quelque chose de certain et bien commençons par voir là.
Reformulons :
Une mère, se présente au cœur d’une guerre pour mettre en garde ses enfants contre certains pièges.
En soi le propos n’est pas désagréable. Par son Nom cette présence est grande et consistante, dans sa matérialité, apparemment fantomatique.
Maison piégée, lieu piégé. Quel lieu, quelle maison ?
Une maison dans un lieu de guerre, guerre menée avec tous les pouvoirs de la science, de la technologie…de la raison militaire.
Le piège ?
Peut être de croire que la victoire, que la paix, viendra par le moyen de ce type de guerre.
Mère : qui donne la vie .
Soldat : qui donne…
Soldat, manifestement, il fallut en passer par là, simplement passer, ne pas s’arrêter, ne pas croire que là se trouve le premier et le dernier mot.
La Présence sous forme matricielle à Gaza dit que ce qui sauve, ce qui fait vivre est fondamentalement et radicalement autre que la puissance militaire.
Limite de ces armes, limite de ces armées
Et je tiens pour ma part que cela est vrai et donc que, comme le dit le titre de ce texte l’histoire de Rahel à Gaza dit vrai !

Il y aurait bien sur à ce sujet de nombreux développements possibles.
Au sens strict cependant j’estime avoir dit l’essentiel, dire, qui je le souhaite pourrait contribuer dans sa mesure à permettre « aux rationalistes » et « aux mystiques » d’envisager un accord quand au crédit à donner à l’histoire de Rahel à Gaza..

Au sens strict, c'est-à-dire de manière contractée.
J’ajoute maintenant une autre histoire, un élargissement...une dilatation.

Parmi les argument évoqués par les rationalistes pour réfuter la Présence de Rahel à gaza, j’ai pu lire celui-ci : on ne trouve pas de témoins, pas de traces matérielles, pas de preuves.
Soit l’argument est recevable.
Suivons d’autres rationalistes, un exemple pris au hasard : des égyptologues.
Ils trouvent quoi ceux là?
Pas de traces vraiment tangibles d’un séjour des Hébreux en Egypte, pas de trace de leur sortie, rien, ni dans les textes Egyptiens, ni dans les lieux. Il y a bien une histoire pourtant ?
Peut être ne regardent ils pas vraiment comme il faut, ni où il faut.
Où et comment, je ne développerai pas ici ce sujet passionnant qui m’éloignerait de mon propos.
Imaginons que nos égyptologues soient aussi alpinistes, qu’ils grimpent au Sinaï.
Là, c’est encore pire pour eux : rien, ou alors des cailloux.
Certes il y a bien dans les environs un temple d’Hator mais bon faudrait pouvoir ajuster correctement, ce n’est pas facile, c’est délicat.
C’est sulfureux cette histoire de vache céleste çà peut rapidement virer au rouge, rouge vif..
Ainsi, au sommet du Sinaï tout ce que peuvent dire les égyptologues au sujet de l’Histoire des Hébreux, c’est qu’elle leur semble quelque peu…fumeuse.
Alors que pour les « mystique » la même histoire semble puissante comme un tonnerre et lumineuse comme un éclair.
Discorde… ?

Extension du champ de la dilatation.
Retour à Gaza, là, des troupes et à côté ...une brebis !
Drôle d’endroit pour une brebis mais celle ci a au cœur soucis pour ses enfants.
Les troupes ont le sait voulaient boucher des tunnels vers et en provenance de l’Egypte, incontestable et louable occupation.
Il est cependant un tunnel par lequel se laisse voir en Egypte même le cœur d’une brebis.
Etroit tunnel certes mais, pas bouché.
En Egyptien ce cœur de brebis se nomme IB, c’est celui qui figure sur l’un des plateaux de la balance quand sur l’autre figure la plume Maat.
Moment parmi d’autre d’un bien étrange rituel, pesée des « âmes », ouverture de la bouche, envolée du BA, que de mystère dans ces « tombeaux ».
Enfin « tombeaux », ce n’est pas vraiment le nom que donnaient les égyptiens à ces monuments, de même il semble que le « livre des morts » serait plutôt celui de la sortie vers la lumière.
Tout cela semble bien loin.
Il y a bien longtemps n‘est ce pas qu’il n’y a plus d’Homme Egyptien de rang suffisamment haut pour nous renseigner sur ces secrets du mystère, cet or d'Egypte...A moins bien sur que...
Il y a comme une chape de plomb sur cet or de l’Egypte.
Plomb.
Gallène, sulfure de plomb, souffre et plomb.
Acide sulfurique et plomb. C’est lourd, ça décape.
Gallène : mer calme.
Remède contre la morsure des serpents.
Plomb : composant du maquillage des yeux des égyptiens, protection des yeux.

Plomb fondu.
Dans la bouche.

J’aime bien les histoires, surtout celles de très haut dignitaires d’Egypte.
Je n’aime que ça en fait, je n’y peux rien c’est comme çà, çà ne me lâche pas.
Je ne cherche pas, je ne trouve pas, ça me tombe dessus, pas moyen de m’en sortir, une vraie galère !

Résumé : Toute histoire n'est pas réductible aux faits.


On a vu le cœur de la Brebis soit.
Mais où sont les Agneaux ?
Et le Bélier ?
Il est où le Bélier ?
Il frappe à la porte ?
Amen.
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