A l’époque où ils consommaient la terouma, les kohanim et leurs familles ne pouvaient le faire qu’en état de pureté, de sorte que les hommes et les femmes se rendaient souvent au miqwé. Mais étant donné que de nos jours, une femme n’entre dans un miqwé que pour se purifier de son impureté conjugale, on ne permet plus, selon renseignements recueillis à bonne source, aux jeunes filles et aux femmes qui vivent seules d’aller au miqwé excepté, dans certains endroits, la veille de Yom Kippour.
L’usage pour les jeunes filles de ne pas se rendre au miqwé a pour but de les faire échapper à la tentation d’une aventure qu’elles pourraient être tentées de justifier à leurs propres yeux en se disant que de toute façon elles sont allées au miqwé.
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